8 septembre 2014 |Jean-Benoît Nadeau
Une chronique de Jean-Benoît Nadeau parue chez Le Devoir.
Le Québec n’a pas le pétrole, mais il a sa langue. C’est l’idée derrière cette nouvelle chronique que lance Le Devoir aujourd’hui.
Car le français, qui nous isole un peu sur le continent, nous branche sur un univers de 250 millions de francophones dans une cinquantaine de pays.
En 2008, j’avais été invité au Japon pour donner une série de conférences sur mon expérience de francophone. Car les Japonais, qui sont insulaires à la fois sur les plans géographique et linguistique, sont très sensibles à l’idée que l’on puisse appartenir à un espace géoculturel beaucoup plus vaste que son propre pays. À plus forte raison quand ce pays, ce n’est pas un pays, comme le dit la chanson. Lire l’article